Viriyah Edgar Karet
Tout semble noir, totalement noir dans les dessins à l’encre de Chine de Viriyah Edgar Karet. L’homme semble avoir disparu, comme si l’artiste nous plongeait dans une société post-apocalyptique, dévastée. Tout vacille, voire a vacillé. Et pourtant, on se prend à guetter le signe d’une présence humaine… derrière une façade, tapie à l’abri d’une de ses architectures.